Selasa, 05 Februari 2019

Télécharger le fichier PDF Spider-Man, tome 1 : La dernière chasse de Kraven, by Mike Zeck Shawn McManus

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Spider-Man, tome 1 : La dernière chasse de Kraven, by Mike Zeck Shawn McManus

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Spider-Man, tome 1 : La dernière chasse de Kraven, by Mike Zeck Shawn McManus

Détails sur le produit

Album: 192 pages

Editeur : Panini France (19 août 2004)

Collection : Best of Marvel

Langue : Français

ISBN-10: 2845383681

ISBN-13: 978-2845383685

Dimensions du produit:

27 x 17,8 x 2 cm

Moyenne des commentaires client :

4.5 étoiles sur 5

4 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

713.167 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Ce recueil constitue une histoire complète parue à l'origine en 1987 dans Web of Spider-Man 31 & 32, Amazing Spider-Man 293 & 294, et Spectacular Spider-Man 131 & 132. Ce tome comprend les 6 épisodes en question.Sergei Kravinoff est un criminel qui s'habille d'un pagne en léopard et d'un gilet sans manche et se fait appeler Kraven the Hunter. Ce personnage est apparu pour la première fois dans Amazing Spider-Man 15 en août 1964. Il possède des connaissances en herboristerie qui lui permettent de concocter des potions ayant différents effets : poison, paralysie, augmentation de la force ou de l'acuité des sens... Dans cette histoire, Kraven abat Spider-Man d'une balle de fusil de chasse, il le fait enterrer et il revêt l'habit du superhéros pour prendre sa place.J.M. DeMatteis est un grand professionnel des comics, autant pour des histoires de superhéros (Batman : absolution &Justice League International), que pour des bandes dessinées plus personnelles (The Compleat Moonshadow &Brooklyn Dreams). Mike Zeck est essentiellement connu pour avoir illustré The Punisher : Cercle de sang. Il est ici encré par Bob McLeod, un autre professionnel vétéran des comics.La particularité de cette histoire de Spider-Man est qu'elle a pour principal personnage le criminel et que Peter Parker ne débite pas de blagues. Il s'agit d'une histoire très sombre qui a pour principaux thèmes l'introspection de Kravinoff et l'impact prychologique pour Peter Parker d'avoir été enterré vivant. J.M. DeMatteis nous fait pénétrer dans la psyché de Sergei sous forme de flux de pensées. Il nous invite à adopter le point de vue de Kraven sur la réelle signification des combats qui l'opposent à Spider-Man et sur le poids de son héritage familial. Du coté de Peter Parker, DeMatteis nous montre à la fois la peur instillée par Kraven et l'incapacité totale à déchiffrer et comprendre les actions de Kraven.À l'évidence, il ne s'agit pas d'un comics pour les plus jeunes et il ne rentre pas dans le moule des aventures habituelles du tisseur de toiles. DeMatteis va même jusqu'à jouer avec l'idée de l'araignée comme totem de Peter Parker (thème qui sera repris et développé plus tard par Straczynski) et comme symbole de l'échec de l'être humain. Les illustrations de Mike Zeck sont un peu datées années 80 et souffrent à plusieurs reprises d'un manque criant d'arrière plan. D'un autre coté le rendu des personnages est très soigné avec des relents de Joe Kubert qui leur donnent une intemporalité et une force peu commune.Pour les fans, cette histoire se classe parmi les meilleurs classiques de Spider-Man. Effectivement les 2 créateurs réussissent le pari de rendre Sergei Kravinoff humain, crédible, tourmenté et étrangement lucide. Peter Parker a rarement été aussi vulnérable et héroïque. Mary Jane (les 2 étaient jeunes mariés à ce moment) est une femme amoureuse mais pas mièvre. Ce qui m'arrête dans l'attribution d'une cinquième étoile est ce manque de décors très déconcertant et le mode narratif qui ne va pas assez loin dans l'utilisation du flux de pensées désordonnées. L'exécution de l'histoire manque d'un soupçon de savoir faire pour atteindre tous les buts ambitieux qu'ils s'étaient fixés. Cette histoire a eu droit à un épilogue : Soul of the Hunter (en anglais).

Notre histoire commence lorsque "Kraven le chasseur", après l'avoir drogué, abat "Spiderman" d'une balle de fusil de chasse. Il le fait ensuite enterrer, non sans lui prendre son costume, afin de lui prendre sa place de super-héros et démontrer au monde qu'il est capable de surpasser son ennemi (une sorte de Superior Spider-Man avant l'heure, quoi).Mais, malgré ce que croit Kraven, notre bon Spidey n'est pas mort'Avec le recul, "La Dernière Chasse de Kraven" s'impose tout net comme l'une des meilleures sagas de l'Homme araignée !Dans une aventure intense, glauque, et pour une fois très adulte (ce qui est rare pour l'époque !), notre héros se voit opposé, pour la dernière fois (mais peut-on parler de "dernière fois" dans le monde des comics de super-slips ?), à l'un de ses pires et plus anciens ennemis'Bien que le style du dessinateur Mike Zeck ait franchement vieilli (encore que l'on peut l'apprécier pour son aspect vintage !), le scénario n'a, quant à lui, pas pris une ride. Il s'agissait à l'époque d'une très belle tentative réalisée par le scénariste J.M. DeMatteis afin de traiter le personnage de manière adulte et dramatique.Alors ? pourquoi est-ce si bien ?Et bien parce que c'est drôlement bien écrit ! La construction du récit, articulée entre les soliloques de "Kraven" et ceux de "Peter Parker", impose une mise en scène conceptuelle, où le lecteur pénètre alternativement les pensées des deux protagonistes, voire des personnages secondaires ("Mary-Jane", par exemple).Dès lors, chaque intervenant apparait dans une forme de complexité inédite, et "Kraven", habituellement cantonné aux rôles de méchant d'opérette, révèle une étonnante épaisseur dramatique, tourmentée, où la haine se dispute à l'émotion, où le désir de vengeance côtoie le respect et l'admiration de son ennemi.Teinté de shamanisme et de métaphore totémique (idée originale reprise plus tard dans le run de JMS), le script de J.M. de Matteis met en opposition les deux ennemis avec une rare intelligence et une profondeur thématique étonnante. C'est ainsi que l'Homme-araignée, perçu au départ comme un animal par "Kraven le chasseur", devra puiser en lui toute son humanité la plus pure afin de renaitre (la métaphore qui le voit sortir de la tombe est limpide !), humanité qu'il trouvera évidemment dans son amour pour "Mary-Jane", qu'il vient tout juste d'épouser à l'époque de ces épisodes, et qui lui procurera la force de revenir à la vie. Et c'est ainsi que "Kraven", à l'apparence tout à fait humaine malgré son costume chamarré, tombera dans la bestialité et, par extension, dans la folie, achevant en définitive son voyage du côté animal de l'âme humaine...Bref, une vision conceptuelle de l'éternel combat du bien contre le mal, illustrée d'une manière proprement brillante !Evidemment, la date où la saga fut publiée, c'est-à -dire en 1987, n'est pas étrangère à la maturation qui toucha par la grâce le scénariste J.M. de Matteis lorsqu'il imagina cette descente aux enfers d'une noirceur surprenante, cette confrontation shakespearienne laconique et ce suspense au cordeau.En effet, l'année précédente avait été sous le signe de la révolution dans le monde des comics de super-héros. Tout le monde le sait aujourd'hui, puisqu'Alan Moore et Frank Miller venaient de publier respectivement Watchmen et Batman : The Dark Knight Returns'Il aura fallu quelques années pour que le labeur de Miller, qui avait complètement revu et corrigé le style narratif naïf et ampoulé des comics old-school de l'âge d'argent dans sa série Daredevil entre 1981 et 1985, fasse boule de neige. Mais force est de constater que cette révolution formelle avait fini par contaminer certains auteurs évoluant dans le milieu. Ainsi, la caractérisation tourmentée, voire psychotique des personnages dans "La Dernière Chasse de Kraven", avec tous ces soliloques et ces flux de pensée, ce découpage rythmé et conceptuel, ces cadrages quasiment cinématographiques, cette absence de bulles de pensée et d'humour infantile, cette noirceur et cette violence assumée, semblent provenir en droite ligne du legs de Frank Miller.Avec son atmosphère glauque et cauchemardesque (toutes les scènes se déroulant dans les égouts, où "Spidey" affronte l'épouvantable "Vermine", sont vraiment malsaines !), "La Dernière Chasse de Kraven" préfigure également les épisodes écrits et dessinés par Todd Mac Farlane dans sa propre série (voir Spider Man par Mc Farlane), clairement adressés à un public plus mature que d'ordinaire (dans la forme, en tout cas). La tonalité de l'histoire est aussi sombre que les grandes histoires de "Batman" qui verront bientôt le jour (avec par exemple la saga Knightfall, ou encore le run de Doug Moench & Kelley Jones), et la fin, sans concession, est d'une rare intensité tragique.Définitivement, cette histoire s'impose comme un modèle de progression narrative, dans la lignée du travail de Frank Miller sur "Daredevil". Et un modèle tout court pour les comics mainstream à venir'Pour ceux qui ont du mal aujourd'hui avec le style ampoulé des comics "old-school" (Hé ! je ne suis pas le seul !), dans lesquels les personnages commentent à voix haute tout ce qu'ils font, où les bulles de pensée compensent un découpage trop linéaire, où les histoires ne sont que des prétextes à voir des hommes musclés en collants et en slip s'affronter dans des bagarres de bac à sable et s'adonner à des joutes verbales infantiles, sachez que ce récit n'entre pas dans cette catégorie, mais annonce au contraire l'avènement des comics mainstream (les comics inscrits dans la continuité des séries) modernes, avec dialogues épurés, voix off et narration axée davantage sur le vocabulaire graphique que sur les phylactères.Plus violents que les épisodes de "Daredevil" cités plus haut, ceux de la saga ici présente peuvent encore aujourd'hui nous surprendre par leur noirceur abyssale, bien plus viscérale que la plupart des lectures que nous offre le bien tiède Marvel contemporain...Avec le recul, les sagas de cette trempe ne sont pas légions à cette époque au sein de la continuité (on pense tout de même au Batman : Killing Joke d'Alan Moore, paru la même année !).Il y avait eut pourtant un précédent crossover vraiment bon intitulé La mort de Jean Dewolf, très adulte également (relativement en tout cas), publié en 1985/86 sous la houlette de Peter David. Cette précédente saga de "Spiderman" mettait en scène un tueur en série masqué (une simple cagoule verte et des bottes à la Robin des bois !), assassinant les représentants d'une justice qu'il considérait trop corrompue. Sa première victime avait été le "capitaine Dewolff", une amie personnelle de "Spiderman". Dès lors, notre héros, aidé par "Daredevil" (c'est d'ailleurs l'épisode historique où le Diable rouge perçait à jour l'identité secrète de l'Homme-araignée !), allait mettre un point d'honneur à stopper la croisade meurtrière de celui que tout le monde nommait alors le Rédempteur...La grande qualité de ces épisodes résidait dans la toile de fond que développait le scénariste autour de la notion de justice. Que ce soit dans les divergences de valeur entre les personnages ou bien dans le reflet de ce que faisaient les médias de cette affaire, Peter David déroulait l'air de rien une implacable analyse des complexités liées au code pénal.Mais, également, le premier épisode de la saga (une pure merveille !) se démarquait déjà par une construction calquée sur celle de Frank Miller, avec voix-off et découpage conceptuel ! Hélas, les trois suivants étaient plus convenus, avec retour des bulles de pensée et dialogues envahissants. On retombait alors dans les travers des comics de l'époque, très ampoulés.Mais ce fut bel et bien "La Dernière Chasse de Kraven" qui entérina la descente aux enfers de "Spiderman", sa douloureuse renaissance et son passage à l'ère de la maturité. Après tout, il apparait évident, avec le recul, qu'il était nécessaire d'assassiner notre héros afin qu'il renaisse sous un nouveau jour, et sous des atours moins naïfs ! Comme une sorte de parcours initiatique, intense et douloureux, vers l'abrupte réalité de l'âge adulte ! Un "Daredevil Born Again" chez "Spiderman", en somme !Cette caractérisation des personnages touchant à tous les aspects strictement adultes de la littérature, les rendant tour à tour complexes, malsains, tourmentés ou psychotiques, alliée à une violence frontale et une approche glauque et dépressive, propulsait en un sens notre saga dans la sphère du roman noir. Malgré un style de dessin qui allait rapidement apparaitre daté, cette épaisseur, cette atmosphère et cette mise en forme exigeante et conceptuelle, destinaient d'emblée ces épisodes à une pérennité certaine.Aujourd'hui, je pense que l'on peut considérer la saga "La Dernière Chasse de Kraven" comme un chef d'Å“uvre du genre et comme l'une des plus grandes réussites dédiées au super-héros le plus populaire de la planète ! Un grand classique, à ranger à côté de "Born Again" et de La mort de Captain Marvel !Cette réussite fut tellement marquante que l'éditeur Marvel attendit plus de vingt ans avant de faire ressusciter le méchant de l'histoire. Impressionnant !

Un bon récit complexe, mais qui est plus centré sur Kraven que sur Spider Man.Le dessin est magnifique, le scénario est bon ce tome prouve que l'on peut faire de bonnes histoires avec Spider Man et celle ci est mémorable à bien des niveaux.Ainsi cette histoire est centrée sur Kraven et Spider Man et va au delà des simples confrontations du fait que Kraven lui va pour une fois au delà de ça.Souvent imitée jamais égalée.Un classique

Dans ce livre, on revoit Spiderman en costume noir et un vieil ennemi de Spiderman en costume noir. L'histoire est très intéressante et originale avec un ennemi de Spiderman qui se fait passer pour le héros et Spiderman qui se fait passer pour mort.

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